Pompon en Mongolie

Tandis que nous menions notre enquête sur l’énergie utilisée à la maison, Pompon a investigué sur l’énergie utilisée dans les modes de transport en Mongolie . Il a énuméré 3 principaux modes de transport :

Le mini van Russe, qui roule á l’essence ( energies chimique et mécanique )
Avec ses 4 roues motrices, le mini van Russe est robuste et fiable. Ce n’est pas le cas apparemment des équivalents Japonais et Coréens qui sont bourrés d’électronique et du coup moins faciles à réparer dans le désert.

L’avis de Pompon :
“Ç’est très pratique pour vadrouiller sur les pistes cabossées en terre, en pierre ou en sable, mais quand on est malade en voiture, ce n’est pas toujours agréable…”

Le cheval, qui fait travailler son energie musculaire !
Animal vénéré en Mongolie, le cheval est le mode de transport par excellence utilisé depuis des millénaires. Il a notamment permis aux Mongols de conquérir le plus grand empire continental qui ait jamais existé !
L’avis de Pompon :
“Le cheval offre un sentiment de liberté unique, j’avais l’impression d’être un cavalier Mongol au milieu des steppes. Mais ça fait quand même mal aux fesses.”

Le chameau, qui utilise lui aussi ses muscles ( énergie musculaire)
Le chameau est très utilisé dans le Gobi, que ce soit pour son lait, sa viande mais aussi pour transporter les yourtes du camp d’été au camp d’hiver.
L’avis de pompon :
“Je ne me suis jamais senti aussi grand ! Je dominais les dunes de sable, les steppes , je voyais les montagnes au loin ! Et  je crois que le guide m’aimait bien…Le chameau, c’est peut être bien mon mode de transport préféré pour la Mongolie.”

L’accès à l’énergie dans le Gobi

Après quelques jours à Oulan Bator, concentré d’urbanisation chaotique au milieu des steppes, nous partons découvrir une petite parcelle de la Mongolie pour 10 jours dans le Gobi et le centre du pays.

Urnaa, notre guide, nous accorde une interview sur l’accès à l’énergie dans le Gobi :

Rencontre avec la Mongolie

Apres 25 jours en Russie, nous arrivons en bus en Mongolie le 5 septembre. 12 heures de trajet au total, passage de frontière inclus.
Changement radical d’ambiance et de paysages après quelques kilomètres en Mongolie : des étendues immenses de prairies bordées de collines, aucune trace humaine sur des centaines de kilomètres… Un pays vide (c’est presque le cas : la Mongolie est le pays où la population est la moins dense du monde avec une densité de 1,5 habitant par km2…)


Première rencontre avec un cavalier qui “gare” son cheval pour aller faire les courses à la supérette du coin, premières yourtes aperçues sur le bord du chemin, et en parlant de chemins, premiers tours de roue sur des pistes poussiéreuses.
Nous sommes loin de nos paysages urbains, et curieux de découvrir ce pays si différent et le mode de vie de ses habitants.

Moscou : rencontres…suite !

Apres avoir expérimenté le métro de Moscou (et relativisé le ressentiment que nous avions contre le métro parisien), nous avons voulu en savoir plus sur les habitudes de transport des Moscovites. Nous sonnons  à la porte de la filiale Total Vostok, où Denis se prête au jeu de l’interview…Il nous donne un petit aperçu de ses habitudes de transport et de son rapport à l’énergie …

 

Pour nous, non, pas de stop, pas de voiture, nous continuons en train ! nous prenons le Transsibérien  pour rejoindre Irkoutsk en 4 jours.