Chouette, nous trouvons une école française à Bali. Dans la série lieux paradisiaques, on pouvait faire pire, nous vous l’accordons. Et là aussi, nous recevons un accueil très chaleureux de l’équipe éducative, notamment de Véronique et Gilles qui nous hébergent !! Encore des gens au grand coeur, encore des rencontres formidables…Merci à eux , et merci aussi aux enfants qui ont joué le jeu !
Soleil, piscine, villas paradisiaques…Voilà le cadre qui nous attend à Balikpapan le 21 mars, après une escale à Jakarta. Accueillis comme des rois par l’équipe pédagogique de l’école MLF, nous donnons nos cours à deux classes le 22 mars. Nous restons avec eux le week-end pour profiter de ce lieu sympathique 
Après le treck au Laos, nous reprenons la route de l’école, mais en Thaïlande cette fois-ci. Nous passons donc au lycée français de Bangkok le 18 mars pour parler des énergies à 4 classes de CM1 et CM2.
Voici quelques photos ainsi que les oeuvres des enfants…
Après l’Inde, direction le Laos ! Seul pays d’Asie du sud est qui n’a pas accès à la mer, le Laos est essentiellement montagneux. C’est aussi un vrai patchwork de villages et d’ethnies. Nous en avons un aperçu avec Pompon en faisant un trek dans la province de Luang Nam Tha. Le trek nous emmène dans un village Lahmu perché, où 70 personnes vivent de l’élevage de poules, cochons et vaches. Nous avons une maison traditionnelle pour nous loger, avec matelas en bambou et sol en terre battue. Nous sommes l’attraction du village et tout le monde vient jeter un œil à ces extraterrestres en bermuda et chaussures de marche. Nous sautons sur l’occasion pour interviewer notre guide sur l’accès à l’énergie dans ce petit village perdu…
Avant de fermer notre chapitre sur l’Inde, voilà quelques photos du voyage de Pompon dans cet immense sous-continent. 2 mois de vadrouille, résumés en ces quelques mots.
Pour Pompon, l’Inde, c’est…
Des vaches à bosse, des buffles, des perruches, des paons, des dromadaires, des camions bariolés, les chiens errants, des regards noirs, des enfants qui jouent dans la rue, la poussière des chemins. des véhicules ensablés, des convois militaires près de la frontière pakistanaise, des carrières de marbre, des vendeurs de tout et de rien, des samoussas prêts à être engloutis, des cerfs volants tirés par des enfants perchés sur les toits plats des maisons, des havelis finement ciselés, des rabatteurs, des faux guides gratuits, des temples, des forts qui s’embrasent au crépuscule, des palais de maharajas, des statues de Ganesh, une mosquée gigantesque à Delhi, des rumeurs de manifestations violentes. des rickshaws kamikazes, des vélos et des camions hara kiri, des odeurs entêtantes, les couleurs des saris, l’ocre de la poussière, le vert des rizières, le bruit permanent des klaxons, les plantations de thé en cascades, les conducteurs de bus/tombeaux ouverts, les trains remplis à ras bord , les rats à bord des trains, des plages magnifiques à Goa ,l’ambiance post-coloniale de Kochi, des millions de personnes rassemblées à Allahabad pour la plus grande fête religieuse du monde, la Kumbh Mela, des bains à foison dans le Gange a Varanasi, les buffles qui se baignent aussi, les prières du matin et du soir, les mêmes depuis 5000 ans, l’arbre sacré de Bodhgaya sous lequel le Buddha a trouvé l’éveil, les pousse pousse de Calcutta, et le bruit, et la poussière, et les odeurs, toujours…
